lundi 18 mai 2015

L'étoile de Kazan

Annika orpheline est élevée par une famille pour le moins atypique. Sa vie se retrouve changée lorsque sa mère vient le récupérer pour l’emmener dans son château en Allemagne. Là-bas, elle découvre une nouvelle vie morne et froide, bien loin de ce qu’elle a connu. Elle se lie rapidement avec Zed le palefrenier gitan dont le rêve est d’intégrer la prestigieuse école d’équitation de Vienne.

Eva Ibbotson est née à Vienne mais a vécu en Angleterre. Elle fut professeur après avoir abandonné ses études de physiologie à cause des expériences animalières. Elle écrit aussi bien pour les adultes que pour la jeunesse. L’étoile de Kazan est sa cinquième œuvre principale.

Ouch, me revoilà partit dans mes années collège, plus précisément en sixième. C’est cette année là que j’ai lu L’étoile de Kazan après avoir finit La reine du fleuve (du même auteur). En parlant lecture avec quelques amis (ce qui est plutôt rare) et qui l’ont également lu (encore plus rare), la plupart l’ont lu en quatrième et si elles ont préféré celui-là, moi j’ai préféré La reine du fleuve.

A l’époque, cette lecture m’avait été agréable. J’aimais bien les chevaux, l’héroïne et son ami étaient attachant, il y avait quelques mystères. Bon, le problème c’est qu’une fois qu’on a lu La reine du fleuve, on remarque beaucoup de similitudes sur la situation familiale des deux jeunes filles, ça fait un peu redondant. Aujourd’hui après relecture, je le trouve long avec des passages ennuyeux. Il me parait fade par rapport à l’autre. J’ai du trop vieillir et le roman a perdu de son charme, la lecture me parait simpliste surtout que la langue n’est pas travaillée mais extrêmement simple. Certes c’est une lecture destinée à des collégiens mais eux aussi ont droit à une belle langue tout en restant dans la simplicité (Pierre Bottero et d’autres l’ont bien fait).


L’étoile de Kazan, Eva Ibbotson, Albin Michel Wiz, 2004, 454 pages


ABC Challenge 2015

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