Annika
orpheline est élevée par une famille pour le moins atypique. Sa vie se retrouve
changée lorsque sa mère vient le récupérer pour l’emmener dans son château en
Allemagne. Là-bas, elle découvre une nouvelle vie morne et froide, bien loin de
ce qu’elle a connu. Elle se lie rapidement avec Zed le palefrenier gitan dont
le rêve est d’intégrer la prestigieuse école d’équitation de Vienne.
Eva
Ibbotson est née à Vienne mais a vécu en Angleterre. Elle fut professeur après
avoir abandonné ses études de physiologie à cause des expériences animalières.
Elle écrit aussi bien pour les adultes que pour la jeunesse. L’étoile de Kazan est sa cinquième œuvre
principale.
Ouch, me
revoilà partit dans mes années collège, plus précisément en sixième. C’est
cette année là que j’ai lu L’étoile de Kazan après avoir finit La reine du fleuve (du même auteur). En
parlant lecture avec quelques amis (ce qui est plutôt rare) et qui l’ont
également lu (encore plus rare), la plupart l’ont lu en quatrième et si elles
ont préféré celui-là, moi j’ai préféré La
reine du fleuve.
A l’époque,
cette lecture m’avait été agréable. J’aimais bien les chevaux, l’héroïne et son
ami étaient attachant, il y avait quelques mystères. Bon, le problème c’est
qu’une fois qu’on a lu La reine du fleuve, on remarque beaucoup de similitudes
sur la situation familiale des deux jeunes filles, ça fait un peu redondant.
Aujourd’hui après relecture, je le trouve long avec des passages ennuyeux. Il
me parait fade par rapport à l’autre. J’ai du trop vieillir et le roman a perdu
de son charme, la lecture me parait simpliste surtout que la langue n’est pas
travaillée mais extrêmement simple. Certes c’est une lecture destinée à des
collégiens mais eux aussi ont droit à une belle langue tout en restant dans la
simplicité (Pierre Bottero et d’autres l’ont bien fait).
L’étoile de Kazan, Eva Ibbotson, Albin Michel Wiz, 2004, 454 pages
ABC Challenge 2015
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